Eté comme hiver, les bougies font maintenant partie intégrante des éléments décoratifs de nos intérieurs et de nos jardins !
Leurs flammes vivantes et chaleureuses remplacent élégamment nos éco-halogènes le temps d’une soirée.
Donc, je cherchais des bougies qui ne coulent pas à Nancy pour éviter les corvées de grattage… ( on est loin du dîner aux chandelles ! ) Je vous informe hélas que je ne les ai toujours pas trouvées mais au passage j’ai glané toutes ces informations fort intéressantes !
A vous de lire ces lignes qui nous font comprendre pourquoi une bougie fume par exemple et donnent de judicieux conseils pour leur utilisation…
Au passage chez Cathy Faïence, 131 grande rue, j’ai repéré ces ces bougies d’extérieur anti-vent ( diamètre 12cm ) à 6€ les 3, un super achat pendant les soldes, elles sont normalement à 5€ pièce. En permanence, vous trouverez dans cet heureux capharnaüm, les bougies Lumières du Temps, bougies 100% cire végétale associées à des parfums de Grasse. De très grande qualité, elles diffusent des senteurs remarquablement raffinées. Une gamme de plus 35 fragrances. Fabrication artisanale française et Lorraine. prix : 10€
Une bougie est comparable à une petite chaudière: la réserve de combustible, c’est le cylindre de cire; et le brûleur, c’est la mèche. Si vous regardez bien la mèche d’une bougie en train de brûler, vous verrez comment la cire fond au contact de la chaleur de la flamme, puis comment la cire liquide monte par capillarité dans la mèche, jusqu’à être vaporisée puis consumée au niveau de la flamme.
C’est, bien sûr, l’oxygène de l’air qui permet la combustion de la cire, et, comme dans une chaudière, la qualité de cette combustion dépend du bon dosage d’air frais et de combustible.
Trop d’air, et la flamme va jusqu’à s’éteindre – c’est ce qui arrive lorsqu’on souffle sur une bougie. Pas assez d’air, et la cire incomplètement brûlée s’échappe sous forme de suie. Lorsqu’une bonne bougie brûle dans de bonnes conditions, elle ne produit pratiquement pas de suie: sa flamme est de taille constante; elle brûle régulièrement et ne s’agite pas. Une bougie de bonne qualité produit peu de polluants dans l’air intérieur, si sa mèche a été coupée courte, si elle brûle à l’abri des courants d’air, et si elle n’est pas trop proche d’autres bougies allumées.
Les bougies peuvent être constituées de différentes cires, souvent mélangées ou disposées en couches concentriques: cire d’abeille, paraffines (tirées du pétrole), stéarines (tirée des graisses animales ou végétales), etc. Les bougies qui ne coulent pas ont une couche de cire extérieure qui fond à une température plus élevée que la masse intérieure, ce qui crée une enceinte pour contenir la cire fondue.
A propos des mèches La longueur de la mèche règle la hauteur de la flamme.
Il faut savoir que, pour chaque type de bougie ( en raison de la composition de sa cire et du diamètre de sa mèche ), il y a une hauteur de flamme à ne pas dépasser pour éviter la production de suie: c’est le « point de fumée ».
Lorsqu’une bougie atteint ce point, le sommet de sa flamme est hérissée de petites pointes, au lieu d’être lisse et rond. C’est une indication que la mèche pompe trop de cire par rapport à la quantité d’air qui peut alimenter la réaction de combustion.
Pour diminuer le débit de cire, il faut raccourcir la longueur de la mèche, ce qui aura pour effet de réduire la hauteur de la flamme – et de permettre à la bougie de durer plus longtemps.
Les bougies se distinguent aussi par leur mèche, généralement en fils de coton tressés et imbibés d’acide borique, à la section ronde ou aplatie.
Plus sa mèche est épaisse, et plus une bougie est susceptible d’émettre de suie dans l’air ambiant. Plus la mèche est épaisse, plus elle doit être taillée courte.
Une mèche très fine (environ 1,5 mm) n’offre pas assez de débit à la cire pour atteindre le « point de fumée », même si elle est très longue.
Avant d’allumer une bougie, on aura donc intérêt à raccourcir sa mèche, généralement en dessous du centimètre. Les mèches de la plupart des bougies industrielles sont conçues pour régler automatiquement leur longueur (elles sont « automouchantes »).
Le moment d’éteindre la bougie est aussi une occasion d’éviter de produire des particules fines: au lieu de souffler sur la flamme – ce qui va engendrer de la fumée – on peut coucher la mèche dans la cire fondue, puis la redresser aussitôt pour qu’elle ne reste pas prise dans la cire.
À consumer avec modération
Les bougies donnent une ambiance chaleureuse à nos foyers; elles agissent donc favorablement sur notre moral. Mais il faut savoir qu’il y en aucune qui soit bonne pour la santé. Il vaut donc mieux éviter d’en faire brûler beaucoup à la fois.
Quant aux bougies parfumées ou « désodorisantes », on les emploiera avec modération, car elles ont davantage tendance à produire de la suie.
La flamme d’une bougie ne peut pas épurer l’atmosphère d’une pièce: elle ne fait que rajouter des polluants dans l’air. Elle ne « mange » pas les mauvaises odeurs, mais elle diffuse des molécules qui leurrent notre nez en couvrant les odeurs qui nous dérangent. Or, de plus en plus de personnes allergiques ou asthmatiques sont incommodées par les substances odorantes, qu’elles soient naturelles ou non.
Des conseils, des conseils !
Éviter de placer une bougie trop profondément dans un récipient qui n’a pas de prise d’air à la base: l’aération de la flamme se fait mal et la bougie a tendance à fumer. Si le haut du récipient est noirci par la suie, c’est la preuve que la bougie brûle mal.
Tenir les bougies espacées d’au moins une dizaine de centimètres: des bougies trop proches sont en compétition pour l’air et ont davantage tendance à fumer. Les bougies avec plusieurs mèches très rapprochées ont le même problème. Avant d’allumer une bougie, couper la mèche en dessous du centimètre .
source technique site http://www.energie-environnement.ch/conseils-de-saison
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mais comment ça brûle une bougie ?
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Eté comme hiver, les bougies font maintenant partie intégrante des éléments décoratifs de nos intérieurs et de nos jardins !
Leurs flammes vivantes et chaleureuses remplacent élégamment nos éco-halogènes le temps d’une soirée.
Donc, je cherchais des bougies qui ne coulent pas à Nancy pour éviter les corvées de grattage… ( on est loin du dîner aux chandelles ! ) Je vous informe hélas que je ne les ai toujours pas trouvées mais au passage j’ai glané toutes ces informations fort intéressantes !
A vous de lire ces lignes qui nous font comprendre pourquoi une bougie fume par exemple et donnent de judicieux conseils pour leur utilisation…
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Au passage chez Cathy Faïence, 131 grande rue, j’ai repéré ces ces bougies d’extérieur anti-vent ( diamètre 12cm ) à 6€ les 3, un super achat pendant les soldes, elles sont normalement à 5€ pièce.
En permanence, vous trouverez dans cet heureux capharnaüm, les bougies Lumières du Temps, bougies 100% cire végétale associées à des parfums de Grasse. De très grande qualité, elles diffusent des senteurs remarquablement raffinées. Une gamme de plus 35 fragrances.
Fabrication artisanale française et Lorraine.
prix : 10€
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Et maintenant parlons flamme !
Une bougie est comparable à une petite chaudière: la réserve de combustible, c’est le cylindre de cire; et le brûleur, c’est la mèche.
Si vous regardez bien la mèche d’une bougie en train de brûler, vous verrez comment la cire fond au contact de la chaleur de la flamme, puis comment la cire liquide monte par capillarité dans la mèche, jusqu’à être vaporisée puis consumée au niveau de la flamme.
C’est, bien sûr, l’oxygène de l’air qui permet la combustion de la cire, et, comme dans une chaudière, la qualité de cette combustion dépend du bon dosage d’air frais et de combustible.
Trop d’air, et la flamme va jusqu’à s’éteindre – c’est ce qui arrive lorsqu’on souffle sur une bougie.
Pas assez d’air, et la cire incomplètement brûlée s’échappe sous forme de suie.
Lorsqu’une bonne bougie brûle dans de bonnes conditions, elle ne produit pratiquement pas de suie: sa flamme est de taille constante; elle brûle régulièrement et ne s’agite pas.
Une bougie de bonne qualité produit peu de polluants dans l’air intérieur, si sa mèche a été coupée courte, si elle brûle à l’abri des courants d’air, et si elle n’est pas trop proche d’autres bougies allumées.
Les bougies peuvent être constituées de différentes cires, souvent mélangées ou disposées en couches concentriques: cire d’abeille, paraffines (tirées du pétrole), stéarines (tirée des graisses animales ou végétales), etc.
Les bougies qui ne coulent pas ont une couche de cire extérieure qui fond à une température plus élevée que la masse intérieure, ce qui crée une enceinte pour contenir la cire fondue.
A propos des mèches
La longueur de la mèche règle la hauteur de la flamme.
Il faut savoir que, pour chaque type de bougie ( en raison de la composition de sa cire et du diamètre de sa mèche ), il y a une hauteur de flamme à ne pas dépasser pour éviter la production de suie: c’est le « point de fumée ».
Lorsqu’une bougie atteint ce point, le sommet de sa flamme est hérissée de petites pointes, au lieu d’être lisse et rond. C’est une indication que la mèche pompe trop de cire par rapport à la quantité d’air qui peut alimenter la réaction de combustion.
Pour diminuer le débit de cire, il faut raccourcir la longueur de la mèche, ce qui aura pour effet de réduire la hauteur de la flamme – et de permettre à la bougie de durer plus longtemps.
Les bougies se distinguent aussi par leur mèche, généralement en fils de coton tressés et imbibés d’acide borique, à la section ronde ou aplatie.
Plus sa mèche est épaisse, et plus une bougie est susceptible d’émettre de suie dans l’air ambiant.
Plus la mèche est épaisse, plus elle doit être taillée courte.
Une mèche très fine (environ 1,5 mm) n’offre pas assez de débit à la cire pour atteindre le « point de fumée », même si elle est très longue.
Avant d’allumer une bougie, on aura donc intérêt à raccourcir sa mèche, généralement en dessous du centimètre.
Les mèches de la plupart des bougies industrielles sont conçues pour régler automatiquement leur longueur (elles sont « automouchantes »).
Le moment d’éteindre la bougie est aussi une occasion d’éviter de produire des particules fines: au lieu de souffler sur la flamme – ce qui va engendrer de la fumée – on peut coucher la mèche dans la cire fondue, puis la redresser aussitôt pour qu’elle ne reste pas prise dans la cire.
À consumer avec modération
Les bougies donnent une ambiance chaleureuse à nos foyers; elles agissent donc favorablement sur notre moral.
Mais il faut savoir qu’il y en aucune qui soit bonne pour la santé. Il vaut donc mieux éviter d’en faire brûler beaucoup à la fois.
Quant aux bougies parfumées ou « désodorisantes », on les emploiera avec modération, car elles ont davantage tendance à produire de la suie.
La flamme d’une bougie ne peut pas épurer l’atmosphère d’une pièce: elle ne fait que rajouter des polluants dans l’air.
Elle ne « mange » pas les mauvaises odeurs, mais elle diffuse des molécules qui leurrent notre nez en couvrant les odeurs qui nous dérangent. Or, de plus en plus de personnes allergiques ou asthmatiques sont incommodées par les substances odorantes, qu’elles soient naturelles ou non.
Des conseils, des conseils !
Éviter de placer une bougie trop profondément dans un récipient qui n’a pas de prise d’air à la base: l’aération de la flamme se fait mal et la bougie a tendance à fumer. Si le haut du récipient est noirci par la suie, c’est la preuve que la bougie brûle mal.
Tenir les bougies espacées d’au moins une dizaine de centimètres: des bougies trop proches sont en compétition pour l’air et ont davantage tendance à fumer. Les bougies avec plusieurs mèches très rapprochées ont le même problème.
Avant d’allumer une bougie, couper la mèche en dessous du centimètre .
source technique site
http://www.energie-environnement.ch/conseils-de-saison
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