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si La droguerie de la Craffe m’était contée

Créé le 17 avril 2019

Karine Claude a un cœur gros comme ça ! et une soif d’entreprendre peu commune.
Après avoir acheté Euréka ma Maison à Saint Max en 1997, puis la Droguerie de la Craffe en 2011, elle s’attelle en ce printemps 2019 a redonné vie à l’ancienne adresse de la rue Raugraff, la bien nommée maintenant Droguerie du Marché.

Elle vit comme une locomotive, elle sait que sans son équipe rien ne pourrait se réaliser, elle est touchante, sensible, un peu déjantée, bref je suis tombée sous le charme de cet elfe…

Karine Claude est né à Nancy.  Elle passe un DUT Gestion des Entreprises et des Administrations et prend un job d’été à Saint Max à la quincaillerie Minni.

La voilà grimpée dans son train entrepreneurial. La quincaillerie devient Euréka ma Maison, elle la modernise, l’informatise, séduit et fidélise sa clientèle par son souci de satisfaire.

Nous arrivons en 2011, Monsieur et Madame Lemire poussent la porte de Saint Max. Pas besoin de décapant, ils veulent juste que Karine reprenne leur bébé, La Doguerie de la Craffe. Elle et pas une autre, elle qui a du cœur à l’ouvrage, elle qui aime son métier.

Pas besoin de réfléchir longtemps pour cette femme qui a décidé de vivre à sa guise. Le défi la tente, le banquier la suit, elle rachète illico le commerce de la vieille ville.

C’est une belle, très belle histoire d’entreprise, un peu comme un conte d’antan à l’image de ces lieux qui sentent l’encaustique.

Une histoire qui se tisse au quotidien avec son équipe, Valérie, Anne et son fils Clément. A 26 ans il possède une fibre, si vous voyez ce que je veux dire :). Son deuxième fils n’a que 11 ans mais je gage qu’il sait déjà ce qui l’attend !!!

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Plus de 7000 références à la Droguerie de la Craffe, insecticides, lessives, détachants au fiel de boeuf, visserie, électricité, quincaillerie, encaustiques, savons, teintures, cirages de toutes les couleurs … si je résumais je dirais tout ce que vous ne trouvez pas ailleurs !

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Et puis bien sûr des ustensiles de cuisine, les trucs qui ne se font plus, les classiques, les bizarres, les « on ne savait pas que ça existait »…

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Pas un chaland qui ne saura repartir sans avoir été satisfait, c’est le principe de cette équipe qui n’affiche aucune fatigue, qui croit au bonheur du commerce, je vous le dis, ils sont drogués…