nancy bocaux le parfait
sans limite de verbes, elle répare, entretient, détache, cire, embellit, savonne et cuisine !
En France, au XVIIIe siècle, on y vend des épices, des herbes sèches, des préparations végétales (comme des teintures) et des produits d’hygiène. Le mot néerlandais droguerij, qui signifie sécherie lui donna son nom.
Et selon le Dictionnaire universel du commerce en 1740, on y trouvait toutes sortes de drogues, particulièrement de celles dont on se sert pour les teintures et pour la médecine. On y dénicha aussi des articles pour la peinture, des toiles et des tubes d’acrylique ou de peinture à l’huile.
La Droguerie du Marché sent l’encaustique, la maison brossée, les tiroirs oubliés. Karine Claude s’est faite depuis 1997 avec Eurêka à Saint Max, puis la Droguerie de la Craffe en 2011, celle qui ressuscite ces commerces où nous trouvons ce que nous ne trouvons nulle part ailleurs ou ce que nous ne supposions même pas y trouver, … vous m’avez comprise, j’en suis sûre.